Dernier dimanche avant la rentrée scolaire, le moment idéal pour se retrouver lors d’un Hoonited Yvelines Festival avec des anciens mais aussi des p’tits nouveaux.
Hoonited Yvelines Festival du 1er septembre 2024
À mon arrivée (matinale) sur le parking en Vallée de Chevreuse, j’avais l’habitude de croiser des promeneurs de (gros) chiens. Cette fois-ci, c’était un club de runneurs avec une dizaine d’athlètes (du dimanche) pour courir en forêt. Je craignais ne plus avoir de place pour accueillir les participants du Hoonited Yvelines Festival. Heureusement qu’il ne s’agissait pas d’un ultra trail car finalement le flot des véhicules stationnés s’est amoindri pour qu’on puisse tous se retrouver, même les nouveaux.
Les vétérans et les novices
Du classique et toujours du classique pour ce HYF de rentrée avec une majorité d’habitués. On connaît bien leurs véhicules (même si Olivier a troqué sa Série 3 un peu rincée pour un Combi totalement délabré) dont le Z4 M qui convainc toujours autant et les électriques (Tesla et Mercedes) qui tordent régulièrement les boyaux des passagers. Pour la chair fraîche, nous n’avons pas été déçus entre une Fiesta ST (de société), une i4 de toute beauté par sa couleur bleutée, une Giulia QV bien trop noire alors qu’elle pourrait être verte et un Tourneo qui a réussi à faire tourner plusieurs têtes par sa config du parc presse. Dans les couleurs vives et aussi dans le cadre de véhicules à l’essai, nous avions une 208 jaune et une Yaris bleue.
- Olivier en Combi,
- Alexandre en Fiesta ST,
- Nicolas en i4 M50,
- Olivier en SV 650,
- William en Giulia QV,
- Floran en Tourneo,
- @Vtyok en – copier-coller Google – e:Ny1,
- Anas en Model 3,
- Guillaume en Z4 M,
- @LeStagiaire en Model Y Performance,
- Boris en Z3,
- Guillaume en EQE,
- Luc et Liam en 300C,
- Arnaud en 208,
- Amaury en Yaris,
- Denis en Focus break,
- Novichok en 240Z.
Hoonited Yvelines Festival : la Datsun 240Z comme star de la journée
Oui, vous avez bien lu, je suis venu en 240Z. Grâce au parc presse Nissan comme pour l’essai de la Fairlady 2000. Sous le capot de ma Japonaise de 1972, on y trouve un 6 cylindres en ligne 2,4 l de 150 ch. C’est pas compliqué, tout le monde y est passé. J’ai dû réaliser une dizaine de baptêmes avec des passagers souvent enthousiasmés par la sonorité du moteur et tous réjouis par le charme de cette (vieille) caisse.
Autrement, nous avons passé la journée à discuter, rouler et manger. Jusqu’à 19h30 pour les derniers. On a sûrement connu des programmes plus équilibrés et plus sains mais ça fait du bien de s’amuser ainsi. Surtout à soulever des capots et à partager des anecdotes sur chaque bagnole.